L'histoire d'un mercenaire
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the-gang-man-2
Sam
El gringo loco
Baku
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Re: L'histoire d'un mercenaire
Merci PP Tu peut aussi la suivre via JVC, FIC du même nom.
Dernière édition par Baku le Ven 6 Aoû - 1:09, édité 1 fois
Baku- Messages : 52
Date d'inscription : 03/08/2010
Age : 28
Localisation : Paris
Re: L'histoire d'un mercenaire
Sait simplement ... mais vraiment ... comment dire ... Je vois pas comment te dire que ces juste ... tout simplement ... ÉNORMÉMENT BIEN la suite
Marston-337- Messages : 293
Date d'inscription : 01/08/2010
Age : 29
Localisation : Sur t'es traces.
Re: L'histoire d'un mercenaire
Voici la suite amigos ! Encore plus de rebondissement, et vous serrez pourquoi je porte le surnom 'El Silenciador'
Chapitre 4 : 'El Silenciador'
J'étais dans ma petite cellule crasseuse et inconfortable, avec pour seul compagnie les cadavres des gens que j'aimais... Pendant un moment, j'ai songé à ne rien faire jusqu'à ce que la mort me tende les bras. Mais je me suis souvenue de ce que j'avais dit au chef des rebelles. Si je laissait la mort m'emporter, il me prendra pour un poltron !
Je pleurais en contemplant le corp sans vie de mon père. Tant de moment passé ensemble... Il m'apprenait à tirer et me disait qu'il étais toujours utile d'avoir un colt caché dans sa veste... D'un coup, je retiras mes mains de mon visage et regarda celui de mon père.
-Même mort tu me viens en aide. Merci P'pa.
Je le fouilla pendant quelques secondes pour trouver facilement le colt. Le problème, c'est que je devais m'échapper discretement, et l'arme risquait de faire du bruit... Je m'écroula sur la paillasse peut confortable de ma cellule, en me demandant comment j'allais faire et en me remémorant les bon conseils paternelle.
'Tirer toujours le premier'
'Quand quelqu'un te demande en duel, tue le avant d'accepter'
Rien sur la discrétion... Je devais trouver par moi même. En appuyant mon coude sur le coussin de ma paillasse, je remarqua qu'il étais vraiment dûr... Je pourrait peut être tirer à travers ce coussin, la balle le traversera peut être pour allez se ficher sur le corp d'un ennemis, et ça limitera sûrement le bruit... Mais il y avait trop de 'peut-être' et de 'sûrement' pour tenter le diable. C'était tout de même ma dernière chance...
Quand le garde arriva, il me regarda d'un sourire narquois
-Le petit déjeuner et servie, majesté.
Et il balança de nouveau cadavre du massacre de Chuparosa dans ma cellule.
-Aujourd'hui ça ne me suffit pas, j'en veut un de plus.
-Hein?
Pendant le laps de temps où le garde réfléchissait sur mes paroles, je saisit le coussin et y colla le colt de mon père. Je poussa la détente. Un léger 'pffou' se fit entendre mais rien d'autre. Le garde me regarda pour ensuite tomber sur le sol.
Je l'attira vers moi en passant mes mains entre les barreaux et prit les clés. Ma cellule ouverte, j'y balança le corp du rebelle. Je commença à me diriger vers la sortie avant un dernier coup d'oeil sur les cadavres de Chuparosa.
-Adieu mes amis.
Une idée me traversa, mais elle fut vite éteinte. Je pouvais prendre les habits du rebelles pour m'échapper, mais je n'avais pas envie de souiller mon corp avec son poncho de traître. Je sortit donc pour évaluer la situation. Il étais tôt, et la pluparts de mes ennemis étaient encore en train de se détendre avec leurs chefs en compagnie des meilleurs femmes du Mexique. D'ailleurs, en tendant bien l'oreille, on pouvais entendre des son incongrues.
-Rosa, tu es vraiment la plus...
-Ferme donc ta bouche querida. J'ai d'autre atouts à te monter...
Je passa mon chemin et jetta un coup d'oeil furtif au camps. Il y avait un garde ivre mort étendue sur le sol, un qui étais allez un peut en retrait pour fumer un cigare, et deux autres qui parlait de leurs 'nuits' de la veille.
Je m'approcha d'une tente d'où aucun son ne sortais. Je l'ouvrit et découvrit une sorte d'armurerie. J'y déposa le colt de mon père et prit seulement 10 petits couteaux. Etant petit, j'étais le champion de Chuparosa en lancer de flèchettes, ça devait donc être un peut près pareil.
En sortant, je remarqua que le garde qui étais partit fumer étais de retours au camp et qu'il discutait avec les deux autres. Toujours dans l'ombre, je m'approcha du garde allongé sur le sol, et lui planta un couteau dans le crâne. J'ouvrit ensuite sa chemise et taillada son torse de sorte à ce que les coup de couteaux forment le signe de Chuparosa. L'autre groupe ne remarqua rien.
J'attendit encore quelques instant et la chance me sourit. Une femme vraiment attirante sortit d'une des tentes et s'approcha du groupe des gardes avec un sourire qui pourrait faire tomber n'importe qu'elle homme. Elle avait des courbes sensuelle et de léger vêtements. Elle tendit sa main et caressa la joue d'un des rebelles.
-J'ai envie de toi, maintenant...
-Je ne vais pas dire non...
-AHAH ! Chanceux va ! C'est la préférer de notre chef...
-Héhé ! J'vous laisse...
Il partit en compagnie de la femme tout droit dans ma direction. Je me plaqua contre la tente et attendit, retenant mon souffle. Le garde remarqua alors une tache de sang sur le sol. C'était quand j'avais tué le garde saoul...
-Mais quesque?
-Ce n'est rien. Tu à envie de moi oui ou non?
-Oui mais...
Elle l'embrassa et retira sa bouche.
-Alors suit moi.
Une goutte de sueur perla sur mon front quand ils entrèrent dans leurs tente. Moins une. Les autres gardes s'étaient endormis. J'en profita pour en tuer un et lui apposer ma marque sur le torse. Mais au moment où je m'approcha du deuxième, je me rendit compte qu'il n'étais pas si endormis que ça...
Il me sauta au coup et me donna un coup de tête. Je roula sur le sol et me releva aussitôt. Il sortit son colt et me visa.
-Ah ! Bien tenté gringo !
Je tenta de m'approcha mais il me donna un coup de poing dans le ventre et je m'écroula à genoux à ses pieds.
-C'est la fin...
Je pris de la terre avec mes mains, me releva et lui jeta au visage.
-Argh !
Je lui taillada ensuite le cou et il tomba. Je resta immobile en entendant des gens parlé. Ca venait de la tente où le garde était partit avec la femme.
-Tu à entendu?
-Sûrement un autre homme qui s'envoie en l'air. Allez, détends toi...
Ouf. J'ouvrit la chemise du dernier garde et lui appliqua la marque. Je m'appretais à partir quand je remarqua quelques chose sur la table. Un revolver double action. Celui avec lequelle le chef des rebelles m'avait blessé. Je le prit en promettant que je le tuerait avec. Je me cacha dans la forêt, trop fatigué pour allez jusqu'à la ville la plus proche.
Au bout de quelques minutes, j'entendit des cris de femmes.
-AHHH !
-MIERDA ! Ce bastardo s'est enfuie !
-Mais... C'est impossible ! Comment à t'il fait?
-Le diable l'a aidé...
-Waouh... ce type, c'est vraiment El Silenciador !
La remarque d'un rebelle qui avait passé la nuit en compagnie d'une femme et qui n'avait plus toute sa tête. Je décida tout même que ce surnom m'allait bien, et j'allais m'assurer qu'ils allaient en entendre parler, de 'El Silenciador'...
Chapitre 4 : 'El Silenciador'
J'étais dans ma petite cellule crasseuse et inconfortable, avec pour seul compagnie les cadavres des gens que j'aimais... Pendant un moment, j'ai songé à ne rien faire jusqu'à ce que la mort me tende les bras. Mais je me suis souvenue de ce que j'avais dit au chef des rebelles. Si je laissait la mort m'emporter, il me prendra pour un poltron !
Je pleurais en contemplant le corp sans vie de mon père. Tant de moment passé ensemble... Il m'apprenait à tirer et me disait qu'il étais toujours utile d'avoir un colt caché dans sa veste... D'un coup, je retiras mes mains de mon visage et regarda celui de mon père.
-Même mort tu me viens en aide. Merci P'pa.
Je le fouilla pendant quelques secondes pour trouver facilement le colt. Le problème, c'est que je devais m'échapper discretement, et l'arme risquait de faire du bruit... Je m'écroula sur la paillasse peut confortable de ma cellule, en me demandant comment j'allais faire et en me remémorant les bon conseils paternelle.
'Tirer toujours le premier'
'Quand quelqu'un te demande en duel, tue le avant d'accepter'
Rien sur la discrétion... Je devais trouver par moi même. En appuyant mon coude sur le coussin de ma paillasse, je remarqua qu'il étais vraiment dûr... Je pourrait peut être tirer à travers ce coussin, la balle le traversera peut être pour allez se ficher sur le corp d'un ennemis, et ça limitera sûrement le bruit... Mais il y avait trop de 'peut-être' et de 'sûrement' pour tenter le diable. C'était tout de même ma dernière chance...
Quand le garde arriva, il me regarda d'un sourire narquois
-Le petit déjeuner et servie, majesté.
Et il balança de nouveau cadavre du massacre de Chuparosa dans ma cellule.
-Aujourd'hui ça ne me suffit pas, j'en veut un de plus.
-Hein?
Pendant le laps de temps où le garde réfléchissait sur mes paroles, je saisit le coussin et y colla le colt de mon père. Je poussa la détente. Un léger 'pffou' se fit entendre mais rien d'autre. Le garde me regarda pour ensuite tomber sur le sol.
Je l'attira vers moi en passant mes mains entre les barreaux et prit les clés. Ma cellule ouverte, j'y balança le corp du rebelle. Je commença à me diriger vers la sortie avant un dernier coup d'oeil sur les cadavres de Chuparosa.
-Adieu mes amis.
Une idée me traversa, mais elle fut vite éteinte. Je pouvais prendre les habits du rebelles pour m'échapper, mais je n'avais pas envie de souiller mon corp avec son poncho de traître. Je sortit donc pour évaluer la situation. Il étais tôt, et la pluparts de mes ennemis étaient encore en train de se détendre avec leurs chefs en compagnie des meilleurs femmes du Mexique. D'ailleurs, en tendant bien l'oreille, on pouvais entendre des son incongrues.
-Rosa, tu es vraiment la plus...
-Ferme donc ta bouche querida. J'ai d'autre atouts à te monter...
Je passa mon chemin et jetta un coup d'oeil furtif au camps. Il y avait un garde ivre mort étendue sur le sol, un qui étais allez un peut en retrait pour fumer un cigare, et deux autres qui parlait de leurs 'nuits' de la veille.
Je m'approcha d'une tente d'où aucun son ne sortais. Je l'ouvrit et découvrit une sorte d'armurerie. J'y déposa le colt de mon père et prit seulement 10 petits couteaux. Etant petit, j'étais le champion de Chuparosa en lancer de flèchettes, ça devait donc être un peut près pareil.
En sortant, je remarqua que le garde qui étais partit fumer étais de retours au camp et qu'il discutait avec les deux autres. Toujours dans l'ombre, je m'approcha du garde allongé sur le sol, et lui planta un couteau dans le crâne. J'ouvrit ensuite sa chemise et taillada son torse de sorte à ce que les coup de couteaux forment le signe de Chuparosa. L'autre groupe ne remarqua rien.
J'attendit encore quelques instant et la chance me sourit. Une femme vraiment attirante sortit d'une des tentes et s'approcha du groupe des gardes avec un sourire qui pourrait faire tomber n'importe qu'elle homme. Elle avait des courbes sensuelle et de léger vêtements. Elle tendit sa main et caressa la joue d'un des rebelles.
-J'ai envie de toi, maintenant...
-Je ne vais pas dire non...
-AHAH ! Chanceux va ! C'est la préférer de notre chef...
-Héhé ! J'vous laisse...
Il partit en compagnie de la femme tout droit dans ma direction. Je me plaqua contre la tente et attendit, retenant mon souffle. Le garde remarqua alors une tache de sang sur le sol. C'était quand j'avais tué le garde saoul...
-Mais quesque?
-Ce n'est rien. Tu à envie de moi oui ou non?
-Oui mais...
Elle l'embrassa et retira sa bouche.
-Alors suit moi.
Une goutte de sueur perla sur mon front quand ils entrèrent dans leurs tente. Moins une. Les autres gardes s'étaient endormis. J'en profita pour en tuer un et lui apposer ma marque sur le torse. Mais au moment où je m'approcha du deuxième, je me rendit compte qu'il n'étais pas si endormis que ça...
Il me sauta au coup et me donna un coup de tête. Je roula sur le sol et me releva aussitôt. Il sortit son colt et me visa.
-Ah ! Bien tenté gringo !
Je tenta de m'approcha mais il me donna un coup de poing dans le ventre et je m'écroula à genoux à ses pieds.
-C'est la fin...
Je pris de la terre avec mes mains, me releva et lui jeta au visage.
-Argh !
Je lui taillada ensuite le cou et il tomba. Je resta immobile en entendant des gens parlé. Ca venait de la tente où le garde était partit avec la femme.
-Tu à entendu?
-Sûrement un autre homme qui s'envoie en l'air. Allez, détends toi...
Ouf. J'ouvrit la chemise du dernier garde et lui appliqua la marque. Je m'appretais à partir quand je remarqua quelques chose sur la table. Un revolver double action. Celui avec lequelle le chef des rebelles m'avait blessé. Je le prit en promettant que je le tuerait avec. Je me cacha dans la forêt, trop fatigué pour allez jusqu'à la ville la plus proche.
Au bout de quelques minutes, j'entendit des cris de femmes.
-AHHH !
-MIERDA ! Ce bastardo s'est enfuie !
-Mais... C'est impossible ! Comment à t'il fait?
-Le diable l'a aidé...
-Waouh... ce type, c'est vraiment El Silenciador !
La remarque d'un rebelle qui avait passé la nuit en compagnie d'une femme et qui n'avait plus toute sa tête. Je décida tout même que ce surnom m'allait bien, et j'allais m'assurer qu'ils allaient en entendre parler, de 'El Silenciador'...
Baku- Messages : 52
Date d'inscription : 03/08/2010
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Localisation : Paris
Baku- Messages : 52
Date d'inscription : 03/08/2010
Age : 28
Localisation : Paris
Re: L'histoire d'un mercenaire
J'suis content parce que toi Sam t'étais le mec à convaincre...
Au début tu mettais tout le temps 'pas mal...' où des trucs avec des petits points, et là tu met carrément excelent ça me fait plaisir
Au début tu mettais tout le temps 'pas mal...' où des trucs avec des petits points, et là tu met carrément excelent ça me fait plaisir
Baku- Messages : 52
Date d'inscription : 03/08/2010
Age : 28
Localisation : Paris
Re: L'histoire d'un mercenaire
Wouha pas mal du tout très bien écrit chapeau
SunQuest- Messages : 189
Date d'inscription : 02/08/2010
Age : 27
Localisation : dans ma chambre
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